Plusieurs de ces équipes seraient notamment prêtes à franchir le pas durant l’intersaison pour s’offrir Boulaya, dont le contrat expire en juin 2017. Du côté de Clermont, on ne fera pas barrage au départ du Franco-algérien.
« Il y a des conditions à remplir mais… »
« Aujourd’hui, on est dans une position d’attente. On n’empêchera pas le joueur de partir. Est-ce que le montant de l’offre sera déterminant ? On ne va pas tout ramener à l’argent même s’il a des conditions à remplir. Après, cela dépendra beaucoup de Farid, de ce qu’il veut faire, de son plan de carrière. On ne peut pas vraiment en dire plus… », nous a confié Claude Michy, président du Clermont-Foot Auvergne, joint ce lundi. En clair, c’est aujourd’hui Farid Boulaya qui a la main pour son avenir.