Girondins : les 3 satisfactions après la qualification contre Nice (3-2)

 Analyse.

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Un bloc haut en 4-3-3 qui a fait mal à Nice

Grégory Sertic se plaignait de voir que son équipe avait perdu sa solidarité du début de saison. Il a dû retrouver le sourire tant celle-ci a avancé ensemble, groupée et en proposant un bloc très haut coordonné en 4-3-3. Guidés par un bon Plasil, les Bordelais ont également mis du mouvement et ont proposé des solutions pour le porteur de balle. Un régal pour les supporters.

Une attaque avec un bon Ménez, ça change tout

L’attaque prometteuse des Girondins du début de saison est elle aussi revenue comme par magie. Un homme en restera le symbole : Jérémy Ménez. Très remuant, l’ancien Romain a multiplié les bons choix et a été décisif sur deux buts en allant provoquer et en déclenchant des frappes cadrées. Gaëtan Laborde, lui aussi très actif, a eu le mérite de suivre ses deux actions pour marquer. Mention spéciale aussi à Malcom, très inspiré sur l’ouverture du score de Jaroslav Plasil.

Une charnière centrale bien complémentaire 

Face à Alassane Pléa et Mario Balotelli, le test était de taille pour la défense girondine. Il a été réussi. Bien aidée par un bon Jérémy Toulalan, la charnière composée par Igor Lewczuk et Nicolas Pallois a en effet su museler les deux attaquants niçois en se montrant réactive et dure sur l’homme. Le but de Pléa, qui est une succession de contres favorables (42e) et le penalty de Mario Balotelli ne reflètent pas vraiment la mainmise bordelaise dans ce secteur durant la majeure partie du match. A noter un sauvetage sur sa ligne de Pallois dans les dernières minutes (88e).

JP