Girondins, PSG, OM : les dernières vérités crues de Christophe Dugarry

Morceaux choisis.

Dugarry ne comprend pas la nouvelle génération

Ancien de la maison, Christophe Dugarry a du mal à suivre la nouvelle génération qui est arrivée au pouvoir dans le football en général. Il le dit sans détour. « Ca me plairait pas de revenir comme entraîneur, car il y a une nouvelle génération qui arrive, et que j’ai du mal à la comprendre. Je n’ai pas les codes, je pense. Chaque génération, dont la nôtre, a les siens, mais je ne sais pas où les jeunes footballeurs d’aujourd’hui veulent en venir, ni ce qu’ils aiment dans ce sport. Je crois même qu’ils n’aiment pas vraiment le football mais plus tout ce qu’il y autour, explique-t-il. Devenir président de club ? L’avantage, c’est qu’on peut prendre ses responsabilités et bien mettre les choses en place. Pourquoi je ne prends pas les Girondins ? Parce que j’aime trop ma vie, à profiter de ma région bordelaise, à partir en vacances. Si j’étais président de club, je le ferai à 200% et j’aurai un lit de camp dans mon bureau donc ça deviendrait invivable pour ma famille. »

Dugarry aime Bordeaux et l'OM mais adore le PSG

Dugarry n’en fait pas mystère : il pense que la France a la chance d’avoir une locomotive comme le PSG depuis 2011. Surtout ses grands joueurs. « Il ne faut pas oublier que c’est une chance d’avoir ce PSG là, d’avoir un club comme ça. Qui aurait pu imaginer qu’on aurait des joueurs extraordinaires comme Thiago Motta, Verratti ou bien Ibrahimovic en L1 ? Je suis Bordelais, j’ai joué à Marseille, mais j’apprécie énormément le Paris Saint-Germain, parce que c’est une équipe extraordinaire, poursuit-il. Moi, j’aime les grands joueurs, je ne suis pas fan des équipes, je suis fan des joueurs. C’est quand même eux qui font le foot, qui marquent des buts, qui se dépensent… (…) Par bonheur, je ne fais pas beaucoup Angers ou Troyes quand je commente, mais je fais surtout Paris, Marseille, Lyon, Monaco. »

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