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Flop 50 : les 50 plus grands bides de la Ligue 1 (de 10 à 4)
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par La rédaction

Flop 50 : les 50 plus grands bides de la Ligue 1 (de 10 à 4)

Durant la trêve internationale, « But ! Football Club » s’est interrogé sur les pires flops de l’histoire des clubs de Ligue 1.

Durant la trêve internationale, « But ! Football Club » s’est interrogé sur les pires flops de l’histoire des clubs de Ligue 1. Chaque journaliste de notre rédaction a donc établi son classement et attribué ses points. Voici les sujets classés de la 10e à la 4e position.

10. Biétry m’a tuer

Michel Denisot : sept saisons, un titre de champion, trois Coupes de France, une C2 et deux Coupes de la Ligue. Charles Biétry : six mois, deux entraîneurs, sept défaites en L1, le Maccabi Haifa, Nicolas Ouédec. Non, on ne peut pas dire que l'ancien directeur des sports de Canal+ ait fait oublier son prédécesseur à la présidence du PSG. Le passage de Biétry marque une cassure dans l'histoire du meilleur club français des années 1990, qui mettra quinze ans à se réinstaller durablement dans le haut du tableau.

9. Les « filles de Monsieur Claude »

Président emblématique des Girondins, le « moustachu » Claude Bez est resté dans les mémoires pour son empoignade mythique avec Bernard Tapie et son arrivée en Cadillac rose sur la Canebière. Ce qu’on oublie plus vite, en revanche, c’est les méthodes de l’homme d’affaires, qui n’hésitait pas à offrir des prostituées aux arbitres avant les matches de Coupe d’Europe et de s’en vanter. Une histoire qui a précipité sa chute au début des années 90.

8. L’ASSE et ses faux-passeports

En 2000, la Ligue n’autorisant que trois joueurs extracommunautaires, les clubs français sont moins regardants quant à la provenance de certains documents. A Monaco, à Metz, à Strasbourg mais surtout à l’ASSE où trois joueurs sont concernés, le pot-aux-roses est découvert. Le tandem brésilien Alex-Aloisio, fraîchement naturalisé portugais, ou encore le gardien ukrainien devenu grec Maxym Levitsky sont les grands protagonistes de cette affaire qui verra les Verts perdre sept points et plonger en L2 en 2001.

7. Guy Roux, l’Icaune déchue

À l'image du jeu de mot barrant alors certaines pancartes (« Guy Roux notre gourou »), le passage du technicien icaunais au RC Lens a quelque chose de foireux. Après s'être battu pour obtenir le droit d'exercer à 68 ans, l'ancien homme fort d'Auxerre démissionne au bout de quatre journées, se sentant trop vieux et souffrant des bétabloquants. Une façon, aussi, de fuir les problèmes : plombée par un recrutement raté, la formation nordiste sera reléguée au terme d'une saison rendue plus pesante encore par l'affaire de la banderole en finale de la Coupe de la Ligue. Deux ans plus tard, une autre banderole, étendue à Bollaert, devait rendre hommage à l'éphémère coach lensois : « Guy Roux, reviens... Non, on déconne. »

6. Marcelo Bielsa, saison II

Première journée de Ligue 1 2015-2016. L’OM est battu par Caen à la maison. Marcelo Bielsa, qui n’a pas encore signé son renouvellement de contrat débarque devant les micros. Il fait son analyse le plus normalement du monde puis, tel Peter Falk dans « Colombo » s’arrête : « Ah ! Une dernière chose… » Vous connaissez la suite, non ?

5. Yoann Gourcuff, une catastrophe économique pour l’OL

Jean-Michel Aulas doit maudire son ancien directeur général Philippe Sauze de l’avoir convaincu de mener un projet marketing autour de Yoann Gourcuff. En 2010, le meneur de jeu des Bleus – qui reste sur six mois compliqués à Bordeaux et l’épisode compliqué de Knysna – est recruté avec pour objectif de servir de tête de gondole à l’OL et à son business plan. Sauf que le Breton a les épaules et les muscles trop fragiles pour ça. Un investissement sans retour de près de 60 M€…

4. Hafiz Mammadov

On ne peut pas vraiment le taxer d’escroc car l’homme d’affaires azéri a quand même sauvé le RC Lens en apportant près de 20 M€ la première année de son mandat (2013-14) mais pour la suite de son œuvre en revanche... Discret dans les médias, il ne s’est vraiment affiché qu’une fois à l’occasion d’une enquête d’anthologie sur Canal+ où, non content de s’enfiler cul sec un verre de Pétrus comme du vulgaire jus de raisin, Mammadov a promis le recrutement d’un Falcao. C’était avant ses difficultés financières qui ont conduit les Sang et Or dans le mur l’an passé…

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Santé !

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Classement : la rédaction. Textes : A.C et J.D

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Pour résumer

Durant la trêve internationale, « But ! Football Club » s’est interrogé sur les pires flops de l’histoire des clubs de Ligue 1.

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