A l'Olympique de Marseille, et depuis bien longtemps, deux anciens dirigeants aiment plus que tout critiquer Vincent Labrune : Louis Acariès, l'ancien boxeur, et Pape Diouf.
Cette fois, c'est Acariès qui a envoyé l'uppercut.
Au vu des résultats du club phocéen depuis des mois, et du mercato tant critiqué de l'été dernier, il semble facile de tirer sur le président Vincent Labrune. Ce que ne se privent pas de faire certains. Dans un entretien accordé à nos confrères de La Provence, celui qui était un proche de Robert Louis-Dreyfus, l'ancien boxeur Louis Acariès, est revenu sur le rôle de Labrune. Et pas de façon très gentille, expliquant on ne peut plus clairement que le costume de président était en réalité trop grand pour lui. Extrait : "En tant que président, ce n'est tout de même pas fameux. Au départ, lorsque je l'ai présenté, il avait vocation à être le patron de la communication. Je l'ai aussi présenté dans ce sens-là aux gens de TF1. En fait, chacun doit rester à sa place. Je pense que si Robert avait encore été de ce monde, il ne l'aurait jamais nommé président. À ce poste, on est sur un siège éjectable."
"Nous ne nous sommes pas parlés depuis cinq ans"
Une première pique que Labrune appréciera. Quant aux relations entre les deux hommes, on pourrait les qualifier de...froides. "Nous ne nous sommes pas parlés depuis cinq ans. Plus précisément depuis le dernier SMS que je lui ai envoyé, qui résume ce qui se passe aujourd'hui. S'il s'était servi de ce que je lui avais dit à l'époque, il ne se retrouverait pas dans cette situation aujourd'hui." On aimerait bien le lire, celui-là...A l'Olympique de Marseille, et depuis bien longtemps, deux anciens dirigeants aiment plus que tout critiquer Vincent Labrune : Louis Acariès, l'ancien boxeur, et Pape Diouf.
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