Le président du FC Nantes Waldemar Kita est un personnage clivant mais cela ne l’empêche pas d’avoir quelques connaissances dans le petit monde du football.
« Il est vrai que j’ai mes opinions, ma vision des choses. Je les partage mais parfois, quand on parle fort, les gens croient qu’on est excessif, trop chaud, se défend-il dans le quotidien Aujourd’hui en France. J’ai une façon de m’exprimer, une voix qui porte. On me dit souvent que je suis plus italien que polonais. C’est dommage que certains me décrivent ainsi. Je connais des présidents qui se taisent pendant les réunions, ça n’apporte rien. Quand je m’exprime, si ça ne plaît pas, ce n’est pas grave. On n’est pas obligé d’être d’accord. Pendant des réunions, j’ai vu des présidents de club qui voulaient se battre. Cela me semble plus grave que de parler fort. »
A force de balancer sur ses homologues de L1, Kita ne craint-il justement pas de se retrouver esseuler ? Le président du FC Nantes a semble-t-il déjà prévu la parade en tissant des liens avec des personnages influents du foot français... « L’amitié, dans le foot, c’est un grand mot. Je vois Aulas (le président lyonnais) fréquemment, y compris en vacances, poursuit-il. Je dîne avec Caïazzo (Saint-Étienne), Ruello (Rennes), Martel (ex-Lens), Labrune (ex-Marseille), Caillot (Reims). Ce n’est pas parce qu’on a des idées différentes qu’on ne se respecte pas. »
JP
Le président du FC Nantes Waldemar Kita est un personnage clivant mais cela ne l’empêche pas d’avoir quelques connaissances dans le monde du football.
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