par Raphaël Nouet

FC Nantes : Ranieri loin d'être un premier choix pour la Fédération italienne

S'il répondrait positivement à un appel de la Fédération italienne, Claudio Ranieri doit savoir qu'il est plutôt mal placé sur ses tablettes.

Du côté de Nantes, tout est clair comme de l'eau de roche : Claudio Ranieri est partant pour devenir sélectionneur de l'Italie et Waldemar Kita ne s'opposera pas à une telle opportunité. Reste à savoir ce que compte faire la Fédération transalpine. La Gazzetta dello Sport du jour a consacré un dossier à la question et il apparaît que “Le Bricoleur” n'est clairement pas favori.

Le plus sérieux candidat se nomme Roberto Mancini. Le technicien est sous contrat pour encore deux ans avec le Zenith Saint-Petersbourg mais il a la possibilité de partir sans indemnité à chaque fin de championnat. Ce qui, pour lui, signifie le 13 mai. Mancini a déjà fait savoir qu'il serait chaud pour le poste mais il doit compter avec la concurrence d'Antonio Conte. Le manager de Chelsea ne cesse de répéter qu'il veut rester à Londres jusqu'à la fin de son contrat en 2019. Mais il semble tout proche du licenciement, moins d'un an après avoir été champion, et l'Italie manquerait à sa famille.

Ces deux candidats sont la priorité de la Fédération même s'ils présentent le même problème : un salaire très élevé. Or, après l'élimination de la Coupe du monde 2018, la Federcalcio ne roule pas sur l'or, bien au contraire. Si aucun des deux ne veut baisser ses prétentions, le nom de Claudio Ranieri reviendra à la surface. On le voit, le Nantais a tout de même peu de chances de parvenir à ses fins…

R.N.

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Pour résumer

S'il répondrait positivement à un appel de la Fédération italienne, Claudio Ranieri doit savoir qu'il est plutôt mal placé sur ses tablettes.

Raphaël Nouet
Rédacteur
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