Après avoir tenté plusieurs techniciens français depuis son arrivée au FC Nantes, Waldemar Kita semble s’être résolu à se fixer sur des entraîneurs étrangers. En témoigne l’arrivée successive de Sergio Conceiçao, Claudio Ranieri et Miguel Cardoso sur le banc des Canaris. À l’OL, ce serait carrément l’inverse : Jean-Michel Aulas ne mise que sur le made in France... avec un but bien précis.
« Quand 50 à 70 % de l'effectif vient du centre de formation, je pense qu'on a intérêt à avoir un entraîneur qui a un ADN OL »
« Je ne pense pas que l'arrivée d'un coach étranger serait la meilleure des choses. Je n'en ai jamais eu à Lyon, par conviction, a répondu JMA dans les colonnes de L’Équipe. Et quand 50 à 70 % de l'effectif vient du centre de formation, je pense qu'on a intérêt à avoir un entraîneur qui a un ADN OL. Les supporters ? On était à 22-23 000 personnes de moyenne à Gerland, là on est plutôt à 50 000. Ça veut dire qu'il y a un renouvellement absolu. Dans ce renouvellement, il y a un certain nombre de jeunes qui, avec Bruno, sont partis sur une idée négative a priori. Bruno est arrivé au mauvais moment. Et malgré des résultats corrects, on a du mal à rectifier complètement le tir. »