OL – LFP : ces 6 dirigeants qui voulaient la peau d’Aulas

Six clubs étaient ligués contre lui pour le faire sauter de la LFP.

Initialement prévue hier, l’élection du Conseil d’administration de la LFP a été repoussée d’un mois après qu’une partie des clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 ont boycotté le vote.  En cause, une tentative de putsch signé des petits clubs et qui avait pour but d’évincer Jean-Michel Aulas (OL) ainsi que plusieurs autres dinosaures (Triaud, Seydoux) des instances.

Un putsch préparé en amont

Alors que le syndicat Première Ligue s’était entendu pour nommer Nasser Al-Khelaïfi, Jean-Michel Aulas, Saïd Chabane, Oliver Sadran, Jean-Pierre Rivère, Michel Seydoux, Jean-Louis Triaud et Vadim Vasilyev, plusieurs clubs auraient bossé en douce la veille dans un hôtel du 16^e arrondissement de Paris pour que ce soit les représentants du FC Lorient, de Guingamp, du Stade Rennais, de Montpellier, de Dijon et de Caen qui soient les représentants de Ligue 1 en compagnie du PSG et de l’AS Monaco à la LFP.

Desplat chef de fronde d’un groupe de six clubs

Derrière Bertrand Desplat, président de Guingamp, seul membre de Ligue 1 ayant refusé de rejoindre le syndicat Première Ligue et accessoirement chef de fronde contre Jean-Michel Aulas, cinq autres dirigeants se seraient rangés selon RMC. Il s’agit de Loïc Féry (FC Lorient), Pierre-Marie Geronimi (SC Bastia), René Ruello (Stade Rennais), Jean-François Fortin (SM Caen) et Laurent Nicollin (MHSC).

Arnaud Carond