PSG : 3 nouvelles conditions pourraient accélérer le départ d’Emery

Dans son édition du jour, le quotidien Aujourd’hui en France fait un point sur l’actualité d’Unai Emery et assure que le PSG, aujourd’hui, n’entend pas s’en séparer avant la saison prochaine. C’est en tout cas le message diffusé en coulisses. Le club de la capitale ne peut toutefois pas vraiment dire autre chose alors qu’il reste trois trophées à glaner (la Ligue 1 et les deux coupes nationales). Laisser filtrer l’idée d’un nouveau changement d’air serait reproché au club alors que quelques fissures apparaissent déjà : la prolongation d’Edinson Cavani qui tarde, les discours changeants des proches de Marco Verratti, les sorties d’Hatem Ben Arfa regrettant le manque de concurrence...

L’émir du Qatar difficilement lisible sur ses intentions

Partant de ce postulat, nos confrères ajoutent que le limogeage de Laurent Blanc invite à la prudence et avance que trois événements peuvent venir bousculer les convictions de la direction du PSG  :  terminer à la troisième place en championnat, synonyme de tour préliminaire en Ligue des champions, ce qui serait un accident industriel; une fin d’exercice gâchée avec la perte de tous les titres détenus; et enfin une intervention de l’émir du Qatar, propriétaire du club à travers le fonds d’investissement souverain QSI. Le journal francilien rappelle qu’au printemps 2016, c’est lui qui avait demandé et obtenu la tête de Blanc, coupable à ses yeux de l’échec en quarts de finale de la Ligue des champions contre Manchester City après un non-match. Pourtant, le champion du monde avait été prolongé de deux ans quelques mois auparavant mais par Nasser Al-Khelaïfi.

JP