Ce mardi, France Football consacre un large focus à Javier Pastore, génie incompris du Paris Saint-Germain qui se réveille pour les quarts de finale de la Ligue des Champions.
Ce mardi, France Football consacre un large focus à Javier Pastore, génie incompris du Paris Saint-Germain qui se réveille pour les quarts de finale de la Ligue des Champions. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ses proches ne manquent pas d’analogies le concernant. Ainsi, son ami Carlos Muguruza, patron du Volver, un restaurant argentin de la Capitale, le compare à un poète disparu : «Si Javier était un poète, ce serait l'Argentin Jorge Luis Borges, qui avait un talent énorme, ou alors Arthur Rimbaud.»
Questionné par l’hebdomadaire, son mentor à l’Huracan Angel Cappa a également les bons mots, rejetant l’irrégularité de son chouchou sur les entraîneurs : «C'est un joueur qui provoque le déséquilibre et qui prend une autre dimension lorsqu'il est libre. Le faire évoluer à l'aile, c'est comme demander à Gabriel Garcia Marquez (écrivain colombien Prix Nobel de littérature 1982) d'écrire l'horoscope ou à Ibrahimovic de jouer latéral droit. Ça n'a pas de sens!»
Mais la comparaison la plus farfelue vient de Nicola Berti, ex-milieu de terrain international italien qui a côtoyé « el Flaco » à Palerme : «Si j'étais entraîneur, c'est le joueur que j'alignerais en premier. Toujours! Pastore, c'est un foie gras poêlé. Il a quelque chose de Roberto Baggio.»
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