Actionnaire minoritaire du LOSC, le milliardaire belge Marc Coucke a choisi de ne pas s’impliquer davantage auprès des Dogues cet été, restant dans sa position en retrait de Michel Seydoux.
Si Michel Seydoux n’a pas essayé de forcer la main à l’ancien boss d’Omega Pharma, c’est aussi parce qu’il connait le fort caractère de Marc Coucke, sa potentielle poule aux œufs d’Or destinée à lui succéder.
Une anecdote, relayé par les médias belges, démontre même l'impulsivité de l'homme d'affaires. Membre éminent du comité exécutif de l’Union Royale Belge des Sociétés de Football Association (l’équivalent de la FFF) au titre de président du club d’Ostende, Marc Coucke a fait le choix de présenter sa démission après la réélection de François De Keersmaecker à la présidence.
« A l'époque, j'avais participé à l'audit qui a mis au jour la mauvaise gestion pendant le Mondial au Brésil, et qui a révélé d'atroces affaires. Je trouve incompréhensible qu'il y ait des gens qui souhaitent que cette gestion soit prolongée, mais bon, chacun a une voix. Je constate tout de même qu'il y a une énorme division entre les professionnels et les amateurs dans le football belge (…) Visiblement, ils préfèrent continuer sur le même chemin que durant les dernières années. Mais comme je l'ai déjà dit: ce sera donc sans moi », a commenté, dans la presse belge, un Marc Coucke, furieux à l’issue du vote.
Actionnaire minoritaire du LOSC, le milliardaire belge Marc Coucke a choisi de ne pas s’impliquer davantage auprès des Dogues cet été.
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