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Flop 50 : les 50 plus grands bides de la Ligue 1 (de 20 à 11)
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par La rédaction

Flop 50 : les 50 plus grands bides de la Ligue 1 (de 20 à 11)

Durant la trêve internationale, « But ! Football Club » s’est interrogé sur les pires flops de l’histoire des clubs français.

Durant la trêve internationale, « But ! Football Club » s’est interrogé sur les pires flops de l’histoire des clubs français. Chaque journaliste de notre rédaction a donc établi son classement et attribué ses points. On se rapproche de la tête du classement avec les thèmes classés, de la 20e à la 11e place.

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20. Quand les Français snobent la C3

Des Coupes d'Europe, ce n’est pas comme si les clubs français en gagnaient tous les ans. Raison de plus, donc, de jouer l'Europa League à fond. Mais non, les matches du jeudi soir ne servent aux représentants de Ligue 1 qu'à faire tourner leur effectif, comme s'il s'agissait d'un vulgaire 128e de finale de Coupe de France. Quand on voit que Braga, Middlesbrough ou Dnipropetrovsk se sont hissés en finale ces dix dernières années, on se dit qu'il y avait pourtant la place...

19. Ligue des Champions 2013-14 : et l’OM finit fanny…

Avec Arsenal, le Borussia Dortmund et Naples, l’OM avait certes hérité d’une poule de la mort mais on pensait les Phocéens capables de prendre au moins un point. Raté ! Un zéro pointé à 14 buts encaissés et 5 marqués. Une première pour un club français dans la Coupe aux grandes oreilles. A jamais les premiers (là aussi) !

18. Arles-Avignon, des « chômeurs » en Ligue 1

Promu à la surprise générale en 2010, l’ACAA entame une véritable révolution pour la L1. Exit le président Conrad remplacé par l’actionnaire Salerno. L’effectif est revu dans les grandes lignes avec un recrutement massif de vieux routiers pointant à Pôle Emploi (Charisteas, Basinas, Meriem, Pavon, Mejia, Bouazza, etc.). Au bout de cinq matches, le coach historique Michel Estevan est dégagé. Ce qui n’empêche pas l’équipe de sombrer (20e avec seulement 20 points). Aujourd’hui en CFA, le club est sous le coup d’une liquidation judiciaire. La suite logique du projet Salerno.

17. Klasnic, Gravgaard… Le recrutement 2008 signé Waldemar Kita

Arrivé aux commandes un an plus tôt, Waldemar Kita est ambitieux au moment de découvrir la L1 avec le FC Nantes. L’homme d’affaires recrute à tour de bras : le croate Klasnic un rein en moins (et pas de coup de rein !), « Air Force » Gravgaard qui devient rapidement « Air Farce », le très oubliable Douglao ou encore N’Daw - qui commence (déjà) à foutre en l’air une carrière prometteuse entamée à Sochaux – font partie de la vague.

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16. L’ère Tapie II

Entre avril 2001 et mai 2002, Bernard Tapie revient à l’OM en tant que directeur sportif. Dès le départ, ça part en sucette avec Pierre Dubiton. Il faut dire que le directeur financier avait de quoi vriller quand il voit la campagne de recrutement menée par Tapie, la plus bordélique de l’histoire du club avec 28 départs et 25 arrivées. Dans le lot quelques rares réussites (Runje, Van Buyten) mais une palanquée de merguez (Torrisi, Ba, Tuzzio, Dimas, Delfim, Gentile, Cavens, Skoro …).

15. Falcao, le tigre qui n’a rien dans le moteur

Tremble Zlatan, le meilleur numéro 9 du monde débarque en France ! C'est du moins ce qu'on croit lorsque Falcao rejoint Monaco pour 60 millions d'euros en mai 2013. Sauf que l'international colombien, à peine arrivé, semble déjà se demander ce qu'il fait à Louis-II, affiche une forme toute relative, puis se blesse en janvier. Depuis, El Tigre végète de prêt en prêt, le président monégasque Dmitry Rybolovlev ayant de son côté fait une croix sur ses rêves de grandeur. Le pire choix de carrière de l'histoire du football ?

14. Anelka et le PSG « black, blanc, bide »

Le PSG dépense 60 millions d'euros durant l'été 2000 pour attirer Anelka, Luccin, Dalmat ou Distin. Une fortune, à l'époque. L'objectif est commercial autant que sportif : la « génération PlayStation » doit séduire la France des banlieues. Hélas, passés des débuts prometteurs (victoire 7-2 contre Rosenborg en Ligue des champions), l'équipe explose lors de la fameuse crise d'automne. Luis Fernandez remplace Philippe Bergeroo et les briscards de Liga chassent les grands espoirs tricolores. La PlayStation était en fait une vulgaire Master System.

13. L’OL humilié par Maribor

Pour beaucoup de Lyonnais, l’été 1999 est un véritable traumatisme. Nous sommes au début de l’ère triomphante amorcée par Pathé et le recrutement de Sonny Anderson. L’OL pense jouer la première Ligue des Champions de son histoire mais, au tour préliminaire, les modestes de Slovènes de Maribor assassinent les joueurs de Bernard Lacombe. 0-1 au match aller à Gerland, un 2-0 net et sans bavure au retour.

12. Leroy de la fausse joie

C'est l'histoire d'un exploit qui se transforme en énorme désillusion. Du PSG qui laisse échapper sa dernière chance de se qualifier pour les quarts de finale de la Ligue des champions après avoir mené 3-0. De Laurent Leroy, auteur d'un doublé, qui passe à deux doigts d'entrer dans la légende et de postuler à l'équipe de France. Mais cette défaite du PSG sur la pelouse de La Corogne (4-3) en mars 2001, c'est surtout cet orgasme inutile de Jean-Michel Larqué au micro de TF1 sur le troisième but parisien. Ceux qui ont regardé le match en direct s'en souviennent encore...

11. Everton – Souza, les Dupont et Dupond brésiliens

Arrivés en janvier 2008, Williamis Souza et Everton Santos résument deux travers du PSG : recruter des joueurs à la dernière minute d'un Mercato, au seul prétexte qu'ils sont Brésiliens. Problème, Souza est un banal joueur de Ligue 1 et son acolyte ne semble même pas avoir le niveau National. Pour avoir comparé son style de jeu à celui d'un célèbre international auriverde, Everton gagne même auprès de certains coéquipiers le surnom moqueur de « Jean-Claude Robignaud »...

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Classement : la rédaction. Textes : A.C et J.D

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Pour résumer

Durant la trêve internationale, « But ! Football Club » s’est interrogé sur les pires flops de l’histoire des clubs français.

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