Les propos du président lyonnais Jean-Michel Aulas, qui a accusé le portier stéphanois Stéphane Ruffier de l'avoir frappé dans le dos hier soir dans les vestiaires après la rencontre de la 13e journée de Ligue 1 entre Saint-Étienne et l'OL (1-2), font grand bruit.
Les propos du président lyonnais Jean-Michel Aulas, qui a accusé le portier stéphanois Stéphane Ruffier de l'avoir frappé dans le dos hier soir dans les vestiaires après la rencontre de la 13e journée de Ligue 1 entre Saint-Étienne et l'OL (1-2), font grand bruit. L'entraîneur des Verts Christophe Galtier a avoué en conférence de presse ne pas avoir assisté à la scène mais doute de la véracité des propos de JMA, habitué des déclarations tapageuses.
"Je ne peux rien vous dire car je ne suis plus dans les tunnels depuis 2001 (alors adjoint à l'OM, le technicien avait été suspendu après une échauffourée avec le Monégasque Marcelo Gallardo, Ndlr). Je ne pense pas qu'il y ait eu des coups. Mais si on a bien un président en France qui a l'art de tourner les situations en sa faveur, c'est Monsieur Aulas. Mais je ne peux rien vous dire car je n'y étais pas."
Contrairement au coup d'épaule asséné par le directeur sportif du PSG Leonardo à l'arbitre M. Castro en mai dernier, aucune image de la scène n'a semble-t-il été captée cette fois.
Les propos du président lyonnais Jean-Michel Aulas, qui a accusé le portier stéphanois Stéphane Ruffier de l'avoir frappé dans le dos, font grand bruit.
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