OM - Montpellier (1-1) : Eyraud encore dans le collimateur des ultras
Pour ne pas avoir pris leur défense ni celle de l'OM, les ultras ont encore ciblé leur président, Jacques-Henri Eyraud, après Montpellier (1-1).
Pour ne pas avoir pris leur défense ni celle de l'OM, les ultras ont encore ciblé leur président, Jacques-Henri Eyraud, après Montpellier (1-1).
La démission de l'homme de confiance de Frank McCourt est demandée avant chaque match. Samedi, après le nul contre Montpellier (1-1), la rengaine a repris de plus belle. Pourquoi ? D'abord parce que la partie du virage Sud dévolue aux ultras était fermée après le craquage de dizaines de fumigènes lors de la réception de Saint-Etienne (1-0) pour les 25 ans du groupe.
Après #OMMHSC, les propos fermes du président pour défendre l'#OM et ses joueurs auprès des instances (comme pour ses supporters), et se faire respecter auprès du diffuseur: pic.twitter.com/phT8IL5xbH
— VieilleGardeCU84 (@VGCU84) 21 septembre 2019
Pour ne pas avoir pris la défense de ses supporters devant la commission de discipline, pour ne pas non plus avoir poussé de coup de gueule contre Canal+ après ses deux dérapages (problème technique ayant fait manquer le but de Germain contre Monaco, trois premières minutes manquées contre Montpellier pour diffuser la séance de tirs au but entre le PSG et l'OL féminins !), "JHE" a à nouveau dans le collimateur, même si cette fois c'était sarcastique.
R.N.
Pour ne pas avoir pris leur défense ni celle de l'OM, les ultras ont encore ciblé leur président, Jacques-Henri Eyraud, après Montpellier (1-1).
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