Passé par la deuxième division espagnole (au FC Cartagena) et le championnat belge (Sporting Charleroi), Franck Signorino avait disparu des radars, avant de resurgir comme l'un des leaders du Stade de Reims.
Passé par la deuxième division espagnole (au FC Cartagena) et le championnat belge (Sporting Charleroi), Franck Signorino avait disparu des radars, avant de resurgir comme l'un des leaders du Stade de Reims. Un parcours cahoteux que le joueur justifie par son franc parler.
"Quand on n’est pas bon, je le dis, quand on manque de certaines valeurs, je le dis aussi, explique le défenseur dans L'Équipe. Mais certaines vérités ne sont pas bonnes à dire, on me l’a fait comprendre. La dernière année à Nantes m’a détruit. On avait une mauvaise image de moi, on trouvait que je parlais trop, ou plus assez, que j’étais calculateur."
Des propos auxquels font écho ceux de son entraîneur Hubert Fournier :
"Il y a eu un clash l'an passé, comme cela peut arriver entre deux hommes. Mais c’est du passé. De prime abord, il ne donne pas si facilement sa confiance, et moi non plus."
Aujourd'hui, les deux hommes aspirent à mener ensemble leur équipe à une nouvelle saison parmi l'élite.
Le défenseur rémois Franck Signorino a son franc parler, et reconnaît que cela lui a parfois posé problème au cours de sa carrière.
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