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Muré dans le silence depuis la sortie au vitriol de Louis Nicollin, même s’il s’est quelque peu rétracté depuis, Jean Fernandez a réagi aux propos du président de Montpellier à l’entraînement héraultais de lundi.
Il est, on le sait, un bon client.
Comptant désormais parmi les vieux routiers de Ligue 1, Jean Fernandez (Montpellier, 58 ans) a fait savoir – dans France Football – qu’il voyait « d’un bon Å“il » l’émergence des jeunes entraîneurs talentueux du championnat”¦ Des éléments « mieux formés » que par le passé :
« Ils incarnent la relève ! Cette génération possède un bagage plus important que nous à l’époque.
Si certains se réjouissent de l’arrivée dans le football français des capitaux parisiens et monégasques, d’autres déplorent le caractère artificiel de leur réussite sportive, fondée sur la générosité de leurs investisseurs.
Ce n’est pas la première fois que l’actuel entraîneur de Montpellier Jean Fernandez relate cette anecdote.
Relégué en L2, officiellement depuis hier soir et la défaite face à Bastia, Nancy panse ses plaies.
C’est désormais officiel, Jean Fernandez prendra les commandes de Montpellier la saison prochaine en remplacement de René Girard.
Le (maigre) suspense a été levé ce lundi : c’est Jean Fernandez, démissionnaire de son poste d’entraîneur de Nancy en janvier, qui va prendre la succession de René Girard sur le banc de Montpellier à partir de la saison prochaine.
On a parlé de Raymond Domenech, Diego Maradona ou Antoine Kombouaré.
Incompatibilité d’humeur avec son président Jacques Rousselot, souci financier ou simple volonté d’éviter la relégation, beaucoup d’hypothèses ont été avancées pour expliquer le départ de l’entraîneur de Nancy Jean Fernandez il y a trois semaines.
Jean Fernandez (58 ans) est-il menacé ? Si son président, Jacques Rousselot, avait récemment affirmé qu’il ne l’était pas et qu’il resterait à Nancy jusqu’au terme de son contrat, en juin 2015, il n’est jamais bon de voir le président soutenir son entraîneur, c’est de coutume.
Invité à réagir sur les dernières attaques de Jean Fernandez à l’encontre de Yohan Mollo, Christophe Galtier n’a pas voulu polémiquer : « Jean a dit ce qu’il ressentait.
