Au lendemain d’une descente traumatisante qui s’annonçait comme un désastre économique pour l’ASSE, les 250 salariés du club auront au moins le soulagement d’apprendre que le club ne prévoit pas de plan de licenciement.
C’était à craindre au vu des déficits engendrés par une relégation qui laissera de lourdes séquelles. Pourtant, l'ASSE a confirmé au Progrès qu’aucun plan social n’entrerait en vigueur malgré la descente en Ligue 2. Les 250 salariés qui œuvrent pour le club à temps plein ou à temps partiel peuvent donc respirer un grand coup. La baisse du budget entrainée par la relégation était estimée à hauteur de 70 millions d’euros cette saison.
La bonne tenue du résultat net avec un excédent de 62 000 euros, un chèque de 16,5 millions d’euros touché via la création de la société commerciale de la Ligue, un parachute d’aides de 7 millions pour la perte des droits TV mais aussi 14 départs de joueurs libres qui allègent la masse salariale du club, voilà les éléments qui ont permis de sauver les emplois du club malgré la crise.
Sportivement l’ASSE accuse le coup avec un effectif décimé à l’aube du nouveau départ en Ligue 2. Malgré tout, les dirigeants pourront au moins se targuer d’avoir maintenu ses employés.
🚨 ALERTE BUTASSE ! 🚨
— But! Saint-Étienne (@ButASSE) May 31, 2022
TOUT RECONSTRUIRE ! 🏗
Ce n’est plus une crainte mais une réalité, l’ASSE est en Ligue 2.
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Au lendemain d’une descente traumatisante qui s’annonçait comme un désastre économique pour l’AS Saint-Etienne, Le Progrès confirme que les quelques 250 salariés du club auront au moins le soulagement d’apprendre que le club ne prévoit pas de plan de licenciement.
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