ASSE - Exclu BUT ! : Patrick Revelli a craqué pour une trouvaille de Puel
A 69 ans, Patrick Revelli, qui réside toujours à Saint-Etienne, reste un spectateur attentif de l'ASSE. Il a été conquis par la prestation d'Yvan Neyou lors du derby...
A 69 ans, Patrick Revelli, qui réside toujours à Saint-Etienne, reste un spectateur attentif de l'ASSE. Il a été conquis par la prestation d'Yvan Neyou lors du derby...
But ! : Patrick, vous arrive-t-il d'évoquer l'actualité des Verts avec d'autres anciens ?
Patrick REVELLI : Quand on se voit, oui. On parle du club, forcément. On a vécu tellement de bons moments. On est tous pareils : on est contents quand ça va bien et inquiets quand ça va mal. C'est normal. Je regarde aussi toujours ce qui se passe à Sochaux. J'ai passé quatre belles saisons là-bas. J'espère que le club va retrouver la L1. D'ailleurs, j'avais connu Jacky Bonnevay à Sochaux. On n'est pas tout à fait de la même génération. C'était un jeune Lionceau à l'époque et moi j'étais déjà un peu moins jeune. Mais ça me fait plaisir de le retrouver dans le staff de l'ASSE. Il est de Roanne. C'est un local.
Christian Lopez a regretté dernièrement le manque de leaders chez les Verts...
Loïc Perrin a arrêté. C'était un leader, sur le terrain, dans le vestiaire. C'est vrai que personne n'a pris le relai mais je pense que certains leaders peuvent émerger. Ce serait bien d'en avoir un par ligne. Derrière, Debuchy va revenir. C'est un guerrier, il a de la bouteille. Devant, Hamouma me semble plus concerné depuis que le brassard lui a été confié. C'est un joueur que j'aime beaucoup et je trouve que c'est une bonne idée de l'avoir repositionné dans l'axe. Et au milieu, je trouve Neyou très intéressant. Il peut devenir un leader lui aussi. Moulin est en un également. C'est un enfant du club. Il a toujours été là, au service du club, et il continue de répondre présent maintenant qu'il a été promu n°1.
Qu'avez-vous pensé de l'attitude de Stéphane Ruffier et de son agent l'hiver dernier ?
Je n'ai pas tout suivi et je ne suis pas à l'intérieur du club. Mais au départ, il me semble que c'est un choix du coach, et Stéphane l'a mal pris. J'ai d'ailleurs l'impression que les joueurs acceptent plus facilement d'être mis sur le banc à l'étranger qu'en France. Ici, ils font la gueule. Ce n'est pas normal.
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