ASSE : nouvelles révélations sur la vente du club, Romeyer et Caiazzo épinglés !

Bien informé sur l'actualité de l'ASSE, Manu Lonjon était l'invité du site Peuple Vert pour le "Sainté Night Club" hebdomadaire, lundi soir. Et l'insider est notamment revenu sur le véritable serpent de mer qu'est la vente du club, lui qui était dans les petits papiers d'un des candidats, l'Américain David Blitzer...

"Les dirigeants ne veulent pas vendre !"

"Je suivais la vente du club de très près pour Blitzer, a-t-il expliqué. Je peux le dire aujourd'hui, si David Blitzer avait racheté le club, j'aurais peut-être fait partie de l'aventure. Pourquoi ça ne s'est pas fait ? Parce qu'ils ne veulent pas vendre. À un moment, tu peux parler de tout ce que tu veux, mais tu as 10 personnes qui ont été dans la Data Room de Sainté. Déjà, pour y être, il faut montrer patte blanche, fournir un grand nombre de documents à KPMG. Montrer que tu es quelqu'un de sérieux. Sur les dix, il y a une personne qui a fait une offre concrète, c'est Olivier Markarian. Une autre personne qui a fait une offre, orale, c'est David Blitzer. Tous les autres, ils ont fait machine arrière en ne souhaitant pas mettre les pieds là-dedans."

Et à lui d'ajouter... "Olivier Markarian voulait acheter le club, il avait les moyens et n'a pas pu l'avoir. David Blitzer et ses associés, ils ont racheté plusieurs clubs. Le seul qu'ils n'ont pas pu racheter c'est Sainté. Ils n'ont pas été reçus comme des gens à qui tu voulais vendre. Je pense que Sainté n'est pas vendu pour une raison simple : Sainté n'est pas vendeur !"

Voilà qui est dit. Et bien dit.

Manu Lonjon est revenu sur la vente avortée de l'ASSE et a évoqué la situation du club.
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— Peuple-Vert.fr (@peuplevert) September 12, 2023

Pour résumer

Les deux actionnaires de l'ASSE n'auraient pas vraiment l'intention de vendre... C'est ce qu'affirme Manu Lonjon, l'invité du site Peuple Vert pour le "Sainté Night Club" hebdomadaire, lundi soir. "Je suivais la vente du club de très près pour Blitzer, a-t-il expliqué. Je peux le dire aujourd'hui, si David Blitzer avait racheté le club, j'aurais peut-être fait partie de l'aventure. Pourquoi ça ne s'est pas fait ? Parce qu'ils ne veulent pas vendre..."

Rédacteur
Laurent HESS