Girondins de Bordeaux : pour Maurice-Belay, il n’y aura pas de seconde chance
"Une finale, ça ne se joue pas, ça se gagne" , dit-on souvent dans le football.
‘Une finale, à§a ne se joue pas, à§a se gagne‘ , dit-on souvent dans le football. Cette maxime est encore plus vraie concernant la finale de Coupe de France que Bordeaux disputera à la fin du mois face à Evian TG. L’ailier girondin Nicolas Maurice-Belay craint en effet qu’à partir de la saison prochaine, le PSG et Monaco s’accaparent tous les trophées disponibles.
‘On ne voulait pas manquer cette opportunité, explique l’ancien Sochalien sur le site officiel de Bordeaux, en référence à la demi-finale de mardi dernier à Troyes. Il n'y avait plus d'équipe comme Paris ou Marseille en compétition. On se dit que c'est peut-àªtre le moment de la gagner. Monaco a l'intention de construire une grosse équipe à l'image de ce qu'a fait Paris. Cela rendra les choses plus difficiles dans les années futures.‘
Rendez-vous le 31 mai au Stade de France, donc, pour la dernière finale de Coupe de France qui ne sera pas un PSG-Monaco.
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