Au travers d'un communiqué, la Ligue de Football Professionnel s'est montrée on ne peut plus claire : l'affaire des matches présumés truqués en Ligue 2 va bientôt connaître son dénouement.
Sportif et pas pénal. En effet, soixante acteurs des matches seront auditionnés par la commission de discipline de la LFP, lundi et mardi prochain, les 16 et 17 mars. Les sanctions seront annoncées dans la foulée, au plus tard le 23 mars.
L'instruction disciplinaire concerne notamment les matches du Nîmes Olympique, tous disputés par le club gardois entre le 11 avril et le 16 mai dernier. Au coeur de l'enquête, le fameux match entre Caen et Nîmes. Pour mémoire, six personnes ont été mise en examen pour "corruption active ou passive". Ce sont Jean-Marc Conrad, ancien président du club de Nîmes, et Serge Kasparian, à l'époque principal actionnaire, Jean-François Fortin, président du Stade Malherbe de Caen, Michel Moulin, Franck Toutoundjian et Kaddour Mokkedel.
La Ligue rappelle également que : "Les sanctions éventuelles peuvent aller, pour les personnes physiques, du rappel à l’ordre à la radiation, en passant par l’amende ou la suspension notamment et pour les clubs, du rappel à l’ordre à la rétrogradation ou la mise hors compétition, en passant notamment par des mesures d’amende ou de retrait de points."
Au travers d'un communiqué, la Ligue de Football Professionnel s'est montrée on ne peut plus claire : l'affaire des matches présumés truqués en Ligue 2 va bientôt connaître son dénouement.
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