OL : Textor préparerait une offensive XXL !

Deux informations viennent de sortir ce vendredi concernant John Textor, le big boss de l’OL. Pour sauver sa peau, l’Américain envisagerait un nouvel investissement qui pourrait se révéler fort lucratif…

Pour ne pas avoir communiqué ses résultats financiers dans les temps, Eagle Football Holdings a eu droit à un premier avertissement des autorités anglaises. Le deuxième conduirait à une dissolution… Mercredi matin, le site olympique-et-lyonnais.com a relayé une information qui confirme que c’est la débandade en ce moment du côté de John Textor : Eagle Football Holdings a été l’objet d’une First Gazette Notice de la part de la Companies House, qui est l’équivalent britannique du registre du commerce et des sociétés français. C’est une « source de données qui centralise des d’informations légales » sur les entreprises, selon Wikipédia. En gros, la société de John Textor s’est pris un carton jaune. Au deuxième, ce sera l’expulsion, donc la dissolution.

Bientôt majoritaire à Crystal Palace pour favoriser son entrée à la Bourse de New York ?

Cette menace très sérieuse implique qu’Eagle doit communiquer au plus vite ses résultats financiers. La holding chercherait-elle à gagner du temps ? C’est dans ce contexte pour le moins tendu, pour Textor comme pour l’OL, en proie à de gros soucis financiers qui pourraient lui valoir une rétrogradation administrative en L2, selon L’Equipe, que deux informations sur Textor sont publiées ce vendredi par CityAM et The Guardian. CityAM croit avoir que Textor veut accélérer son entrée à la Bourse de New York. Et The Guardian ajoute qu’il ambitionne de devenir majoritaire à Crystal Palace, en augmentant ses parts de 40 à 80%. Une telle manoeuvre favoriserait l’entrée d’Eagle à la Bourse de New York et pourrait permettre, en l’espace de quatre à six mois, de lever près d’1 Milliard de Dollars, dont 150 Millions d’Euros seraient directement injectés dans les caisses de l’OL. Info, intox ? Difficile d’y voir clair. Comme souvent avec Textor, diront ses détracteurs, de plus en plus nombreux.