PSG : pour Ménès, Paris est victime d’un arbitrage à deux vitesses
Les téléspectateurs de la rencontre entre Lorient et Saint-à‰tienne (3-1) ce samedi après-midi ont peut-être remarqué cette scène à la 83e minute : averti pour contestation après un but (logiquement) refusé à son coéquipier Pierre-Emerick Aubameyang, l’attaquant des Verts Brandao est venu poser sa main sur l’épaule de l’arbitre M.
Moreira, qui n’a pas réagi. Un geste qui rappelle un peu celui qui avait valu au défenseur parisien Thiago Silva d’àªtre exclu contre Valenciennes (1-1) dimanche dernier (voir les images).
@luccassin @canalfootclub on va pa compenser une connerie par une autre connerie. Mais à§a prouve qu’il y a deux vitesses
— Pierre Ménès (@PierreMenes) 12 mai 2013
À la décharge de Brandao, son geste est tout de màªme bien moins franc que celui de son compatriote, qui avait posé ses deux mains sur la poitrine de l’arbitre. Mais la règle selon laquelle il serait prétendument interdit de toucher le directeur de jeu semble en effet sujette à des interprétations diverses.
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