ASSE – Green Angels, depuis quand la guerre a vraiment démarré…

« Après les incidents survenus lors des matches disputés au Stade de France et à Lyon, toutes les conditions de sécurité ne sont pas réunies pour l’accueil du public dans cette tribune. L’ASSE tient ainsi à réaffirmer sa volonté de tolérance zéro à l’égard de toutes les personnes qui adoptent des comportements inacceptables », pouvait-on lire sur le communiqué du club.

Le déplacement à Bastia le 1 septembre…

Si la décision coup de poing risque d’avoir des conséquences, les tensions entre les Green et le club ne datent pas d’aujourd’hui. Le point de non-retour ayant été atteint le 1 septembre dernier à Furiani lors de Bastia – ASSE. En effet, accusé d’avoir grillé un fumigène, un membre des Green Angels a été arrêté et a jugé coupable en comparution immédiate. L’homme en question a fait plusieurs jours de prison.

..Puis l’affaire « Casti » à Montpellier

Du côté des Green Angels, on affirme que le supporter en question était innocent et que le procureur s’est basé sur la foi du témoignage d’un des nouveaux stadiers employé par le club et non sur les images de vidéosurveillances qui étaient inexploitables. Egalement pointé du doigt injustement lors de l’affaire « Casti » à Montpellier, les Ultras ligériens n’ont pas apprécié le peu de soutien du club à leur égard. Depuis, les rapports entre la direction et les « GA » sont très tendus et Dominique Rocheteau, le dirigeant chargé des relations avec les supporters, ne parvient pas à les aplanir.

Alexandre CORBOZ

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