OM : le bon, la brute et le truand de la première partie de saison
Pour Noël, « But ! Football Club » dresse un bilan club par club de la première partie de saison sur un air de western spaghetti estampillé Sergio Leone. L'épisode marseillais.
Pour Noël, « But ! Football Club » dresse un bilan club par club de la première partie de saison sur un air de western spaghetti estampillé Sergio Leone. L'épisode marseillais.
Si à Marseille aucune individualité ne se détache durablement sur la première partie de saison, le travail de l'entraîneur est quand même à saluer. Avec un effectif léger en quantité, sans véritable recrutement, sans véritable fond de jeu, le « Special Two » n'a certes pas fait de miracles en Coupe d'Europe mais en Ligue 1 les résultats sont cohérents et l'OM maintient un rythme élevé pour disputer le podium en fin de saison. La dernière semaine en queue de poisson nuit quand même un peu au bilan.
Tombé amoureux de l'OM et transféré définitivement à l'été 2020, l'Espagnol est le nouveau « bad boy » de Marseille. En ce début de saison, Alvaro s'est retrouvé au cœur d'une polémique lors du Clasique face au PSG (victoire 1-0 des Marseillais) où Neymar Jr l'a accusé de racisme. Des allégations qui n'ont donné lieu à aucune sanction, faute de preuve. Alvaro Gonzalez, c'est un peu le héros phocéen de la saga « Moi, moche et méchant (mais visiblement pas raciste) » …
On l'oublierait presque étant donné qu'André Villas-Boas ne le convoque jamais et ne compte pas sur lui mais le Grec fait bel et bien toujours parti de l'effectif de l'OM et touche son salaire tous les mois. La pègre marseillaise n'a qu'à bien se tenir : Mitro, c'est plus fort que « Mémé » Guérini et Francis le Belge au niveau de l'extorsion de fonds...
André Villas-Boas qui fait des miracles, le sulfureux Alvaro et le fantôme de Kostas Mitroglou... Ce qu'il faut retenir de la première partie de saison de l'OM.
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