Youcef Belaïli.
Youcef Belaïli.Credit Photo - Icon Sport
par Tom Bonnard
TRANSFERTS

OM - Mercato : un gros risque avec la piste Belaïli ?

Alors que le joueur algérien cherche à s’inscrire dans une grande écurie européenne, la question se pose quant à sa réelle disponibilité pour l'OM à quelques semaines de la CAN.

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Youcef Belaïli vient de remporter la coupe arabe avec l’Algérie contre la Tunisie (0-2). Mais après ce titre majeur, quel en sera l’avenir en club pour l’ailier gauche de 29 ans ? Passé par le SCO d’Angers entre 2017 et 2018, le joueur n’est plus lié au Qatar SC avec qui il a évolué toute la saison dernière (2020-2021). Le natif d’Oran souhaite s’imposer dans une grande équipe européenne pour inscrire un nouveau chapitre dans sa carrière de joueur. Alors que des rumeurs circulent quant à une signature à l’Olympique de Marseille, un détail fait tâche.

La CAN, un gros frein

Comme expliqué dans les lignes de Foot Mercato, l’entourage sportif de Youcef Belaïli est prédominé par son père qui s’occupe de tout. Une question de pose quant à la disponibilité du joueur pour l’OM. D’une part, parce que le club phocéen doit vendre avant d’acheter, et d’autre part car le TAS (Tribunal Arbitral du Sport) pourrait entraver ce potentiel transfert, à l’image de Lassana Diarra à l’époque, où le clan Belaïli réclame un salaire annuel de 2 millions d’euros. Il faut aussi prendre en compte que la CAN débute le 9 janvier et s’achève le 6 février 2022. Cela signifie que Youcef Belaïli, qui a de grandes chances de disputer la compétition après des prestations encourageantes en coupe d’arabe, serait disponible pour Jorge Sampaoli qu’à partir du deuxième mois de l’année 2022. L’interrogation est alors grande sur sa potentielle venue à Marseille.

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Pour résumer

Une question de pose quant à la disponibilité de Youcef Belaïli pour l’OM. D’une part, parce que le club phocéen doit vendre avant d’acheter, et d’autre part car le TAS (Tribunal Arbitral du Sport) pourrait entraver ce potentiel transfert, à l’image de Lassana Diarra à l’époque, où le clan Belaïli réclame un salaire annuel de 2 millions d’euros.

Tom Bonnard
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