Le penalty sifflé en faveur de l’OM contre l’Olympiakos en Ligue des champions mardi (2-1) a provoqué une levée de boucliers. Et si l’aura d’André Villas-Boas y était pour quelque chose ?
L’OM a enfin enrayé sa spirale de 13 défaites consécutives en Ligue des champions. Grâce à deux buts signés Dimitri Payet, le club s’est imposé devant l’Olympiakos hier à l’Orange Vélodrome (2-1). Tout a pourtant été loin d’être parfait dans le jeu, avec même un petit scandale survenu sur le deuxième penalty généreusement accordé par la VAR.
« Les penalties ont sauvé Marseille en seconde période. Le premier est tout à fait logique et a été transformé par Payet d’une frappe dans la lucarne, a analysé Pierre Ménès sur son blog. En revanche, permettez-moi de dire que le second est assez scandaleux. Parce que la frappe de Rongier est quasiment à bout portant, parce que Rafinha ne fait que se protéger et parce que ses bras sont collés au corps. C’est ce qu’on appelle depuis l’apparition de la VAR, ‘un penalty à la c**’. »
Et si cette décision arbitrale ne venait pas indirectement d’André Villas-Boas ? La Provence se pose la question après plusieurs visionnages de M. Gil Manzano et de ses collègues de la VAR. « Est-ce un écho aux références passées d'André Villas-Boas, entraîneur renommé hors de nos frontières et vainqueur de la Ligue Europa avec Porto en 2011 ? Toujours est-il que l'OM a été arbitré hier soir comme un grand d'Europe », écrit le quotidien régional, en référence à la décision « généreuse » de l'arbitre sur le second penalty.
"Un petit sourire quand même"
— Pierre Ménès (@PierreMenes) December 1, 2020
Fin de série noire pour l'OM, pénible vainqueur de l'Olympiakos. Ce sera tout de même compliqué pour la troisième place... https://t.co/P1XfQXcViP pic.twitter.com/n2lUyMp8pp
L'aura d’André Villas-Boas pourrait avoir eu un trait d'influence dans la second penalty sifflé en faveur de l'OM hier contre l'Olympiakos (2-1).
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