FC Nantes : le Top 5 des coachs virés précocement sous Kita

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Michel Der Zakarian (3 matches en 2008-09)

OK, il était déjà en poste la saison d'avant, en Ligue 2, et avait mené les Canaris à la montée. Mais comme pour Aristouy, Waldemar Kita l'a laissé débuter le championnat alors qu'il ne croyait pas en lui. Au bout de trois journées (et zéro victoire), il décide de le virer. Christian Larièpe lui succède le temps d'une raclée face au Mans (1-4) à la Beaujoire, puis Elie Baup arrive. Mais ne peut éviter une relégation en fin de saison...

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Jean-Marc Furlan (9 matches en 2009-10)

Gernot Rohr est nommé au début d'une saison qui doit voit le FC Nantes lutter pour la montée. Mais la mayonnaise ne prend pas et l'Allemand est viré en décembre. Le spécialiste de la montée Jean-Marc Furlan est nommé à sa place. Mais le technicien au caractère bien trempé comprend rapidement qu'il a mis les pieds dans un gros bazar où l'entraîneur ne décide de rien. Au bout de neuf matches (dont six défaites), il décide de partir.

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René Girard (16 matches en 2016-17)

Dès le départ, on sait que ça ne collera pas entre le sanguin René Girard et l'interventionniste Waldemar Kita. Et ça ne rate pas. Les Canaris démarrent par une victoire à Dijon (1-0) avant d'enchaîner six matches sans victoire. Girard est viré en décembre, avec 4 victoires en 16 matches. Il est remplacé par un autre sanguin, Sergio Conceiçao, qui aura des résultats mais qui, ô surprise, ne supportera la méthode Kita que six mois !

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Miguel Cardoso (8 matches en 2018-19)

L'erreur de casting. Kita décide de recruter un entraîneur aux idées très offensives dans la très défensive Ligue 1. Avec une seule victoire en huit matches, le Portugais est logiquement démis de ses fonctions dès le mois d'octobre. Il est sans emploi depuis mai et une expérience ratée à Rio Ave, qu'il n'a pas su maintenir après avoir un 0-5 en cumulé face à Arouca lors des playoffs.

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Raymond Domenech (8 matches en 2020-21)

Mais qu'est-il passé par la tête de Waldemar Kita sur ce coup-là ? Raymond Domenech n'avait plus entraîné en club depuis trois décennies, il était sans emploi depuis le fiasco du Mondial 2010. Personne ne le prend au sérieux en tant qu'entraîneur et même ses analyses en tant que consultant font rire. Et pourtant, Kita choisit de miser sur lui après le renvoi de Christian Gourcuff. L'expérience dure huit matches, pour aucune victoire. Antoine Kombouaré arrive en sauveur et parvient à maintenir le FCN au terme des barrages contre Toulouse (2-0 ; 0-1).