OL : les 5 chantiers pour 2024
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Sauver sa peau en Ligue 1
Pour beaucoup, ce n’est qu’une formalité. Surtout depuis l’arrivée de Pierre Sage sur le banc. Mais d’autres grands clubs français se sont crus immunisés de la relégation par le passé avant de succomber, l’ASSE et les Girondins étant les exemples les plus récents. Avant toute chose, souhaitons donc à l’OL d’assurer sa place en Ligue 1 pour enchaîner une 34e saison au plus haut niveau.
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Retrouver l'Europe par le biais de la Coupe de France
Une fois l’objectif maintien assuré, pourquoi ne pas rêver à un bon parcours en Coupe de France qui permettrait de retrouver l’Europa League en cas de victoire finale ? Les Gones débuteront leur parcours à Pontarlier. En cas de tirage au sort clément ou de grosses performances, il est possible de se frayer un chemin jusqu’au Stade de France. Après tout, l’équipe de la saison dernière a bien atteint le cap des demies…
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Recruter un crack par ligne
John Textor ne cesse de prétendre qu’il est ambitieux pour l’OL, que le club aura des moyens pour recruter. A lui de le prouver lors des deux fenêtres de recrutement de 2024 ! Pour envisager de se mêler à nouveau à la lutte pour les premières places, il faudra au minimum un crack par ligne. Et ils ne risquent pas d’arriver de Botafogo, Molenbeek ou Crystal Palace, autres clubs de l’Américain. La cellule recrutement relookée va devoir apporter la preuve de son savoir-faire !
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Se doter enfin d'un organigramme stable
Pendant trente ans, rien n’a bougé ou presque à l’Olympique Lyonnais. Cette stabilité, incarnée par le duo Aulas-Lacombe, a permis de mener le club de la L2 à sept titres de champion d’affilée. S’ils veulent retrouver leur lustre, les Gones vont devoir arrêter de tout chambouler à intervalles réguliers. Maintenant que Textor a fait la paix avec Aulas, qu’il nomme ses hommes et qu’on leur laisse du temps pour qu’ils imposent leurs idées.
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Passer la DNCG sans trembler
En 2023, ça a été le cauchemar à ce niveau alors qu’il y avait rarement eu des problèmes jusque-là. Pendant l’été, l’OL a vu sa masse salariale encadrée et son recrutement passé à la loupe. Il a été obligé de bidouiller, ce qui a énervé certains rivaux. L’étau s’est à peine desserré cet hiver. L’idéal serait qu’il n’y ait plus aucune restriction l’été prochain.