PSG : l'après-Classico a mis al-Khelaïfi dans une colère noire
Le président du PSG, Nasser al-Khelaïfi, a l'impression que son club est ciblé par les politiques pour faire parler d'eux, en témoigne l'affaire des chants racistes.
Le président du PSG, Nasser al-Khelaïfi, a l'impression que son club est ciblé par les politiques pour faire parler d'eux, en témoigne l'affaire des chants racistes.
Dimanche soir, le Parc des Princes et les joueurs du PSG ont fêté la large victoire sur l'OM en entonnant des chants jugés racistes (celui sur les rats) ou homophobes. Pour avoir saisi un mégaphone et l'avoir repris avec les ultras, certains joueurs pourraient être sanctionnés par la commission de discipline. Mais la ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, aimerait pour sa part que les supporters à l'origine de ces chants puissent être sanctionnés individuellement, plutôt que des tribunes entières soient fermées, comme c'est souvent le cas.
Nasser al-Khelaïfi, lui, enrage contre cette énième polémique. Selon Sports Zone, le président du PSG aurait lâché : "Certains veulent s'acheter une image en reprenant toujours le PSG mais jamais les autres". Force est de constater que le Qatari a raison. En son temps, Roxana Maracineanu avait elle aussi pointé du doigt les chants des ultras parisiens lors d'un Classico, chants qui s'entendent dans tous les autres stades de France. Voilà un autre problème soulevé par la centralisation : les politiques ne vont qu'au Parc des Princes, jamais dans les enceintes de province, et c'est donc toujours le PSG qui prend...
Le calendrier du PSG pour la saison 2023-24
🚨 Le PSG est agacé d’être toujours le seul à payer la note auprès des instances et des politiques.
— Hadrien Grenier (@hadrien_grenier) September 26, 2023
« Certains veulent s’acheter une image en reprenant toujours le PSG mais jamais les autres », a lâché Nasser Al-Khelaïfi à certains collaborateurs.
(@SportsZone__)
Les politiques n'ont pas manqué de réagir aux chants des supporters du PSG dimanche soir contre l'OM (0-4), appelant à des sanctions. C'en est trop pour le président parisien, Nasser al-Khelaïfi, qui constate que c'est tout le temps sur son club que ça tombe.
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