Girondins – EXCLU BUT! Grégory Coupet : « Pourquoi je suis revenu à Bordeaux »

Remercié par les Girondins de Bordeaux au mois de juin 2022, l’ancien gardien de but de l’ASSE, de l’OL et du PSG, Grégory Coupet est récemment revenu au club pour donner un coup de main. Explications.

La nouvelle a eu de quoi surprendre. Mais Grégory Coupet est bien de retour. Lui qui après sa brillante carrière (7 titres de champion de France consécutifs avec l’OL) débutée à l’ASSE et poursuivie à Lyon, l’Atlético Madrid et au PSG, avait choisi de devenir entraîneur des gardiens, a récemment décidé d’effectuer son retour aux Girondins de Bordeaux. Club qui l’avait pourtant licencié à l’été 2022 après six mois de services alors que le club était encore en Ligue 1.

Les Girondins étant désormais en N2, Coupet a décidé de venir donner un coup de main. Et nous livre les conditions de son retour. « Tout est parti d’un simple coup de téléphone d’Arnaud De Carli, le vice-président des Girondins et qui s’occupe du Club Scapulaire. Il m’a demandé si j’étais disponible pour venir donner un coup de main aux gardiens de l’équipe première car Christian Potel partait pour d’autres fonctions. J’ai dit oui au feeling car Arnaud De Carli est un type bien et que j’ai une affection particulière pour le club. J’habite dans la région, c’est donc possible de venir aider de temps à autre. »

« On verra ce qu’il se passera dans les prochains mois, et où en sera le club. »

De là à imaginer un retour sur le long terme, c’est autre chose. Même si l’ancien gardien lyonnais laisse toute de même la porte à moitié ouverte. « Tout le monde sait que j’avais pris mes distances avec le football professionnel. Mais là j’ai une vraie bonne relation avec Bruno Irles, l’entraîneur des Girondins, et Dado Prso, son adjoint. C’est important pour moi les relations humaines. On verra ce qu’il se passera dans les prochains mois, et où en sera le club. Là, ce n’est pas du temps plein, j’ai d’autres activités par ailleurs. Je ne me projette pas, je prends juste du plaisir. Et quand on voit le monde qu’il y avait lors du dernier match des Girondins face à Saint-Malo (16 000 spectateurs environ), ça correspond exactement à ma définition du mot plaisir. »