ASSE : Larqué allume de nouvelles cibles très haut placées

Depuis trois semaines, le monde se divise en deux camps : les anti-Qatar et ceux qui ferment les yeux sur les morts sur les chantiers, l'écologie, les droits de l'Homme, etc, pour mieux regarder le ballon rouler. La majeure partie des grands dirigeants de la planète football sont dans le deuxième camp car ils ont des intérêts financiers divers et variés avec l'émirat. Ainsi, le président de la FFF, Noël Le Graët, a-t-il estimé que Hugo Lloris n'avait pas à porter le brassard One Love (finalement interdit par la FIFA) au Qatar… avec qui il négociait la diffusion par BeIN de la Coupe de France. Arsène Wenger s'est également fendu d'une déclaration sur le fait que les footballeurs n'avaient pas à se mêler de la politique. Autant de prises de position qui n'ont pas plu à Jean-Michel Larqué.