ASSE – SCO Angers (2-2) : un cadre angevin n’était pas rassuré par la colère du Chaudron
Pour Angelo Fulgini, rien n’aurait pu empêcher les supporters de l’ASSE de rentrer sur la pelouse vendredi s’ils l’avaient voulu.
Si Paul Bernardoni n'a pas spécialement fait cas des incidents d'ASSE – Angers (2-2) qui ont retardé le coup d'envoi du match (« Honnêtement je ne vais pas en faire tout un plat, sinon ce serait remettre de l'huile sur le feu. Ca ne sert à rien »), du côté d'Angelo Fulgini on est un peu plus dur à l'égard du public stéphanois, déçu des résultats et réclamant la démission de Claude Puel.
L'envahissement aurait pu être incontrôlable selon Fulgini
Dans les colonnes de Ouest-France, l'ancien Valenciennois a clairement fait part de ses peurs quant à une situation qui aurait pu encore plus déraper : « Si 10 000 supporters envahissent la pelouse, ce ne sont pas 10 stadiers et les CRS qui vont les stopper. On peut comprendre la frustration des supporters stéphanois. Mais en arriver à jeter des choses sur le terrain, ça gâche un peu la fête ».