Girondins de Bordeaux : quand Trémoulinas compare Kiev à Bordeaux…

Girondins de Bordeaux : quand Trémoulinas compare Kiev à  Bordeaux…
But ! Football Club
5 novembre 2013

Dans un entretien accordé à L’Equipe, l’ancien défenseur des Girondins a comparé les deux clubs : ‘Pour la langue, je n’ai pas été déà§u. À cause de l’alphabet cyrillique, j’ai l’impression de retourner à la maternelle, j’apprends des sons et des mots nouveaux. La base (le centre d’entraà®nement), comme ils l’appellent ici, est un bâtiment de six étages, très froid, très soviétique, avec du marbre et des portes en bois à l’ancienne. Cela ressemble à un camp militaire mais ultramoderne. Chaque joueur a sa chambre. On peut venir y dormir quand on veut et monter s’y doucher directement après l’entraà®nement. Malgré une grande rigueur, notamment dans la préparation des matches avec des mises au vert de deux jours, il n’y a pas d’amendes pour les retards. C’est paradoxal et, ce qui est également particulier, c’est que les joueurs ne mangent pas tous ensemble ni en màªme temps. Il n’y a pas de grande tablée mais des petites tables de trois ou quatre. Comme je suis arrivé le dernier, on m’a mis là où il restait de la place. Je me suis retrouvé avec le Portugais Veloso et les Brésiliens Danilo Silva et Dudu […] C’est un régal de jouer au stade Olympique (de 70 050 places). S’il n’est pas toujours plein, il possède une grosse caisse de résonance. C’est pas mal aussi dans les autres stades. Quand on est allé jouer contre le Metalist Kharkiv, les 40 000 supporters, qui ont droit aux fumigènes, en ont allumé près de trois cents. Le stade était tellement en feu que le match a été arràªté. Un truc de fou !’

Retrouvez également toute l'actualité des Girondins sur webgirondins.

Les plus lus