PSG : Blaise Matuidi ne regrette pas “du tout” d’être parti à la Juventus Turin

Il est désormais incontournable chez les “Bianconeri” et ne pense plus au PSG !

Lors d’un entretien au Figaro, Blaise Matuidi a confié à quel point il était heureux à la Juventus Turin. Un club qu’il a rejoint cet été en provenance de Paris mais qu’il aurait pu rallier un an plus tôt, puisque des contacts sérieux avaient été établis entre les trois parties. Le milieu de terrain s’est adapté en un temps records à son nouvel environnement, à tel point que le PSG ne lui manque pas !

“Ce club a tout compris”

“Je me régale. En toute honnàªteté je ne m'attendais pas à àªtre aussi bien dès le départ. Habituellement, en tant que recrue, plus encore en venant d'un autre pays, il faut un minimum de temps d'adaptation. Personnellement, je me suis adapté de suite à Turin et mis dans le moule rapidement à la Juve. A l'arrivée, on m'a aidé pour tout et c'est génial. Ce club a tout compris. Si je suis bien dans ma vie, je suis bien sur le terrain, donc tout a été mis en Å“uvre pour faciliter mon intégration et celle de ma famille. Que ce soit pour trouver une maison, prendre des cours d'italien avec un professeur particulier, l'école internationale pour les enfants, nous donner les bonnes adresses où aller”¦ Tout est fait pour qu'on s'acclimate à merveille.”

“Si je pense encore au PSG ? Pas du tout. Bien au contraire. Je suis très heureux ici car j'arrivais à un âge (ndlr : 30 ans) où j'avais besoin de vivre une expérience hors de mon pays. Atterrir à la Juventus Turin, ce n'est pas n'importe quoi. Au-delà du footballeur, je suis comblé en tant qu'homme et père de famille (il a trois enfants âgés de 2, 5 et 8 ans). Découvrir l'étranger, une nouvelle vie, pour moi et mes enfants, c'est plus qu'enrichissant. A la maison, on commence à parler en anglais, des fois en italien et là je me dis qu'on a passé un cap (son visage s'illumine). C'est le top et la meilleure des choses qui pouvaient nous arriver. En tant que papa, je suis aux anges.”

R.N.