OGC Nice : les 3 enseignements de la miraculeuse victoire à Angers (2-1)
Nice n’y arrive pas en première mi-temps
Comme face à Troyes et Lyon, les Niçois n’y arrivent pas en première mi-temps. Peu inspirés, ils ont su se montrer dangereux qu’une seule fois avec une tête sur le poteau (23e) d’Andy Delort grâce un bon service de Youcef Atal. Pire encore, les Aiglons se font prendre en contre avec de longs ballons dans le dos de leur défense encore une fois, à l’image de l’action qui amène au pénalty de Sofiane Boufal (28e) que le Marocain transforme lui même.
Hassane Kamara, un repositionnement qui ne fonctionne pas
Comme face à l’OM, le latéral gauche de formation replacé milieu gauche n’aura pas su apporter satisfaction. Bien discret offensivement et souvent en retard sur les phases défensives, il n’aura remporté que 22% de ses duels pour un seul centre, raté, en pourtant 65 minutes de jeu. Remplacé à l'heure de jeu.
Des attaquants encore trop imprécis
Alors que les attaquants de l’OGC Nice ne rataient que peu leurs occasions en début de championnat à l’image du match remporté à Lille (0-4) avec 11 tirs, 7 cadrés pour 4 buts, ça patine ces trois derniers matchs. Paul Bernardoni n’aura été que trop peu inquiété cette après-midi avec moins de 1/3 de tirs cadrés à l’instar du but d’Andy Delort contré par Romain Thomas, chanceux de voir son tir lober le gardien angevin. Les Niçois sont encore miraculés en fin de match grâce à un magnifique but d’Andy Delort (90e+1) qui gagnent encore une fois en ayant été menés.
