OL : les coupables du malaise lyonnais sont (déjà ) identifiés
En panne de résultats, l’OL tentera demain de prendre des points demain à Nîmes.
Et de se qualifier en Ligue des Champions face au RB Leipzig.
La nomination, il y a quelques semaines, de Rudi Garcia au poste d’entraà®neur de l’OL, en remplacement de Sylvinho, avait eu un mérite : rendre un soupà§on de tranquillité à Juninho, le directeur sportif, et Jean-Michel Aulas, le président. Les deux hommes, montrés du doigt pour le choix du technicien brésilien, avaient, depuis, laissé les clés de la maison à Garcia, dont les récents résultats laissaient entrevoir des lendemains qui chantent.
« Un choc en bois »« L'OL sous tension »
Re cher Vincent Duluc,
Le seul point positif de cette grève qui touche inévitablement la distribution du journal l'Equipe pour l'édition papier.
— Jean-Michel AULAS (@JM_Aulas) 5 décembre 2019
Problèmes, l’OL s’est incliné lors de son avant-dernier match de Ligue des Champions, face au Zénith Saint-Petersbourg, a rechuté en championnat, cette semaine face à Lille, et se doit d’assurer son avenir européen au travers d’un match couperet face à Leipzig.
‘Les derniers choix sont en dépit du bon sens’
Pas de quoi, dans ces conditions, rassurer les observateurs de la Ligue 1. A commencer par Christophe Dugarry, sur RMC, qui en a remis une couche sur le tandem Aulas-Juninho. ‘Plus que de s'acharner sur Rudi Garcia, on sent qu'il n'y a plus grand-chose qui fonctionne. La venue de Juninho n'a pas eu les effets escomptés notamment avec un mercato moyen. Est-ce qu'à tout cela ne s'ajoute pas aussi la méforme du président Jean-Michel Aulas ? C'est malgré tout de plus en plus compliqué pour lui, tous les derniers choix du président sur les six derniers mois sont à l'envers, en dépit du bon sens”¦ Aujourd'hui, cela ne fonctionne pas.’