Présent en conférence de presse pour quelques médias triés sur le volet, Gervais Martel a fait le point sur la situation du RC Lens, maintenu en Ligue 2 par la Commission d’appel de la DNCG ce mardi.
Comme il l’avait écrit dans un communiqué un peu plus tôt, le président du Racing a confirmé avoir eu les garanties bancaires de la Banque d’Azerbaïdjan, même si, avec les délais bancaires et sans doute le pont du 14 juillet, l’argent n’est pas encore arrivé sur les comptes du club.
« L’argent est parti d’Azerbaïdjan. On a eu l’ordre de virement vendredi mais, comme il transite par plusieurs banques étrangères, nous n’avons pas encore reçu l’argent à l’heure où je vous parle. Nous avons choisi de rester sur le budget (ndlr : 48 M€) présenté en première instance. Je fais confiance à mon actionnaire Hafiz Mammadov. Je pense que ce n’est qu’un contre-temps. Le virement va vite arriver et on sera tranquille pour notre passage devant le CNOSF », a expliqué le dirigeant artésien, confiant concernant l’issue du dossier qui devrait intervenir vendredi ou lundi prochain au plus tard.
Peiné pour les supporters et pour Antoine Kombouaré (qu’il a eu au téléphone un peu plus tôt), Martel n’a pas encore eu son co-actionnaire azéris : « Mais j’ai eu ses conseillers ! J’aurai Hafiz plus tard. » L’emblématique président du Racing a également fait une promesse : « Je me battrais comme un malade s’il le faut mais Lens sera en Ligue 1 », a-t-il promis, envisageant également de présenter un second budget au CNOSF si les 10 M€ n’arrivaient pas d’ici là et même d’épuiser tous les recours possibles pour se faire entendre.
Pascal GUISLAIN, à la Gaillette.
Présent en conférence de presse pour quelques médias triés sur le volet, Gervais Martel a fait le point sur la situation du RC Lens.
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