Avec 7 défaites déjà au compteur, soit autant que le Gazelec d'Ajaccio, une manière de jouer très irrégulière et une façon d'aborder des matchs de championnat déterminants de manière trop timide, l'ASSE est en train, toute seule, comme une grande, de se mettre la pression et donc en difficulté.
Oui, les hommes de Christophe Galtier ne proposent un jeu alléchant que trop rarement et peu en phase avec leurs ambitions. Déjà contre Guingamp, il y eu le grand frisson et à Lille, comment dire, oui, une page blanche. Les blessés, les terrains lourds, l'adversaire...Toutes les explications sont bonnes mais ne doivent pas devenir des excuses. On l'a dit, on l'a vu, Loïc Perrin et ses partenaires ont à chaque fois le chic pour rater la marche qu'ils pourraient gravir, pour arriver à tutoyer les sommets. En retard, sur le tableau de marche de la saison passée à la même époque, Ruffier et les siens vont devoir cravacher dans la dernière ligne droite pour limiter les dégâts. Car, avant Noël, il s'agira bien de celà, en recevant Rennes et Angers, et en se rendant à Monaco.
Et puis j'allais oublier....Le football moderne réclame des latéraux exigeants et performants, d'abord défensivement puis éventuellement offensivement. De ce côté-là, de « ces » côtés-là plutôt, chez les Verts, c'est le désert !
Denis BALBIR
Avec 7 défaites déjà au compteur, l'ASSE est en train, toute seule, comme une grande, de se mettre la pression et donc en difficulté.
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