par julien.perez

Real Madrid, Barcelone : le prochain duel Messi - Cristiano Ronaldo déséquilibré ?

Le Clasico programmé entre le FC Barcelone et le Real Madrid le 2 avril au Camp Nou pose un sacré cas de conscience à Zinédine Zidane mais surtout à Luis Enrique.

Explications.

Le samedi 2 avril, tous les amateurs de football léché suivront avec attention ce qui pourrait être le dernier Clasico de la saison. Mais pas forcément le plus beau. Comme le fait remarquer le quotidien AS, Luis Enrique se pose en effet beaucoup de questions quant à l’équipe qu’il alignera au Camp Nou face au Real Madrid. Aujourd’hui, Andres Iniesta, Sergio Busquets et Ivan Rakitic sont ainsi déjà sur le flanc et ses autres stars sont pour la plupart parties sur le continent américain pour disputer les éliminatoires de la Coupe du monde 2018. Lionel Messi pourrait alors faire partie des joueurs amenés à baisser de pied et démarrer sur le banc de touche devant les Merengue.

Messi pourrait encore démarrer sur le banc de touche

L’hypothèse serait en effet loin d'être écartée par Luis Enrique, conscient d’avoir un quart de finale de Ligue de champions très compliqué seulement 3 jours plus tard contre l’Atlético Madrid. Le journaliste de AS Juan Jimenez rappelle que ce ne serait pas la première fois que Messi débuterait un match d’une telle envergure comme remplaçant, ce qui fut d’ailleurs le cas à l’aller. Avec le succès que l’on sait. Ce cas fut également expérimenté à Vicente-Calderon, également avec succès puisque Messi avait fait la différence face aux Colchoneros lors de son entrée en jeu. Au Real Madrid, le cas de conscience de Zinédine Zidane est différent. Le casse-tête est bien présent mais plus atténué par le fait que les Merengue auront un jour de repos supplémentaire pour préparer leur match contre Wolfsburg. Et puis, Cristiano Ronaldo n’a-t-il pas envie de gonfler ses statistiques pour devenir Pichichi devant Luis Suarez ?

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Pour résumer

Le Clasico entre le FC Barcelone et le Real Madrid le 2 avril pose un sacré cas de conscience à Zinédine Zidane mais surtout à Luis Enrique. Explications.

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