Mandaté pour trouver des investisseurs privés afin de sortir de la crise économique qui se dessine avec le coronavirus, Gérard Lopez (LOSC) ne fait vraiment pas l’unanimité.
Si c’était Gérard Lopez doit porter un masque en ces temps de crise, il n’est pas considéré pour autant comme le Zorro de la Ligue 1. Mandaté pour trouver des investisseurs privés afin de sortir de la crise économique qui se dessine avec le coronavirus, le président LOSC ne fait pas l’unanimité chez ses confrères soucieux de préserver la mainmise sur leurs clubs.
Ainsi, Jean-Pierre Caillot a ouvertement au Stade de Reims affirmé que cette « solution extrême » devrait être pensée seulement après avoir demandé des aides de l’État. À la tête de la FFF, Noël Le Graët a demandé une union sacrée autour de cette sortie de crise. Tous semblent craindre une porte ouverte à l’arrivée de fonds d’investissement qui pourraient prendre racine en L1.
Résumons les préconisations de #lopez, président du #LOSC, pour la #L1: tu empruntes à un fond US à un taux rédhibitoire, un peu de cavalerie (tu empruntes pour rembourser) à suivre et tu passes finalement sous le contrôle d'un fond vautour type Elliott pour finir. Le rêve.
— Grégory Schneider (@SchneiderGrgory) April 11, 2020
Mandaté pour trouver des investisseurs privés afin de sortir de la crise économique, Gérard Lopez (LOSC) ne fait vraiment pas l’unanimité.
Retrouvez tous les soirs une sélection d'articles dans votre boite mail.
