Le désaccord exprimé par sept clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 contre le pacte passé entre la LFP et l’AS Monaco concernant le siège de domiciliation de ce dernier a mis en lumière le fait qu’il n’était plus le bienvenu à la table des grands.
Parmi les présidents des clubs rebelles, on trouve ceux du Paris Saint-Germain mais aussi des Girondins de Bordeaux.
Jean-Louis Triaud, qui s’est déjà longuement exprimé à ce sujet, a cette fois-ci expliqué pourquoi le PSG s’était subitement joint au clan contestataire alors qu’il semblait accepter la situation de l’ASM il y a encore quelques semaines.
« L’ASM économise chaque année environ 50M€ sur sa masse salariale grâce à ses divers avantages fiscaux, a-t-il assuré dans les colonnes du Parisien, avant de poursuivre sur la petite guerre entre les deux mastodontes de la Ligue 1. Quant au PSG, il semblerait que leur présence dans le camp des contestataires soit liée à la rivalité économique et sportive avec l’ASM ». On appelle ça un pavé dans la mare !
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Le président des Girondins de Bordeaux pense que le PSG n'apprécie pas l'ombre grandissante de l'AS Monaco.
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