LOSC – ASSE : la preuve que le penalty de Gradel aurait dû être retiré
Samedi soir, à l’occasion de la rencontre opposant le LOSC à l’AS Saint-Etienne (1-1), on a eu le droit à un sacré festival de gardiens.
Samedi soir, à l’occasion de la rencontre opposant le LOSC à l’AS Saint-Etienne (1-1), on a eu le droit à un sacré festival de gardiens.
C’est d’abord Stéphane Ruffier qui a sauvé les Verts en repoussant un penalty de l’international belge Divock Origi. Puis, le lillois Vincent Enyeama lui a répondu en faisant de même sur la tentative de Max-Alain Gradel.
Pourtant, il y a pas mal à redire sur les deux actions. Comme vous le savez-tous, le football est régit de différentes lois, dont une concernant la position du gardien de but lors d’un pénalty (ou lors d’une séance de tirs aux buts). Il s’agit de la loi 14, bien souvent mal appliquée : «Le gardien de but de l’équipe défendant reste sur sa propre ligne de but, face à l’exécutant, entre les montants du but, jusqu’à ce que le ballon ait été botté. Depuis 2000, il a le droit de se mouvoir sur sa ligne (il devait auparavant être immobile et au centre des buts). »
Dans le cas de Stéphane Ruffier, rien à redire, puisqu’il est bien positionné sur sa ligne.
Par contre, le portier lillois est lui bien avancé, ce qui l’avantage en réduisant l’angle de tir du tireur…
Par conséquent, selon la fameuse loi 14, l’arbitre aurait dû faire retirer le penalty. Sans chercher à tout prix un coupable, il convient de faire remarquer la position de l’arbitre de touche, le mieux placé dans le cas présent, et qui devrait prendre ses responsabilités.
Romain Patinec
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