Nommé au LOSC en remplacement d’Hervé Renard licencié le 11 novembre dernier, Frédéric Antonetti assure avoir été surpris par l’offre émanant de Michel Seydoux.
« Il n’y a eu aucune hésitation. J’ai surtout été surpris. Surpris, déjà, par ce qui se passait à Lille, parce que ce ne sont pas les habitudes de la maison. Et puis j’ai été surpris qu’on s’intéresse à moi après deux ans et demi sans entraîner… Je ne pouvais pas refuser un projet comme celui de Lille, ou alors, je me disais que j’arrêtais d’entraîner ! Même si aujourd’hui on est en difficulté sportive, ça reste une place forte du football français, admet-il dans La Voix du Nord avant d’évoquer toutes les offres qu’il a écartées pendant sa période de recul. J’en ai eu beaucoup et j’ai eu de tout… J’ai eu deux clubs de L1 mais ce n’était pas le bon moment. Cette saison, j’ai eu beaucoup de clubs de Ligue 2. Des sélections nationales africaines aussi. Six, je crois ! J’ai failli sauter le pas avec la Côte d’Ivoire, mais on n’était pas d’accord sur le fonctionnement. J’ai aussi eu beaucoup d’offres de clubs maghrébins, un club belge, deux suisses, des hongrois, deux turcs, un égyptien, un russe… Je n’étais pas sans rien. Parfois, c’était très intéressant financièrement. Mais bon, partir pour partir… »
Nommé au LOSC en remplacement d’Hervé Renard licencié le 11 novembre dernier, Frédéric Antonetti assure avoir été surpris par l’offre de Michel Seydoux.
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