A l’issue de l’élimination de son équipe face au RC Lens (2-1 après prolongations) jeudi soir en Coupe de France (huitième de finale), Rémi Garde ne semblait pas plus traumatisé que ça : « On a laissé échapper une qualification à domicile malgré une ouverture du score et un certain contrôle sur le match.
A l’issue de l’élimination de son équipe face au RC Lens (2-1 après prolongations) jeudi soir en Coupe de France (huitième de finale), Rémi Garde ne semblait pas plus traumatisé que ça : « On a laissé échapper une qualification à domicile malgré une ouverture du score et un certain contrôle sur le match. Nous avons laissés filer trop d’occasions sans se mettre à l’abri et Lens nous a punis. En restant avec un seul but d’avance, on a donné à l’adversaire la possibilité d’y croire jusqu’au bout. Pourtant, je n’ai pas eu l’impression que les Lensois y croyaient beaucoup. On les a bien aidés », a analysé l’entraîneur de l’OL, reconnaissant malgré tout « de la déception » mais cherchant à positiver… Quitte à changer complètement son discours à deux jours d’intervalle.
« Ce soir, nous étions émoussés. Pas tant physiquement mais psychologiquement. Avec la répétition des matchs et les différents objectifs à tenir c’est quand même assez difficile au bout d’un moment. Nous avons manqués du ressort psychologique pour y croire et aller jusqu’au bout. Est-ce que c’est un mal pour un bien ? C’est possible ! Courir tous les lièvres à la fois, c’est difficile. On voulait le faire mais cette défaite va nous dégager quelques dates et de la fraîcheur psychologique sur d’autres compétitions », a justifié Rémi Garde, qui n’a pas voulu confirmer qu’il s’agissait sans doute du dernier match de Rémy Vercoutre à l’OL : « Franchement, je n’y ai pas pensé… Surtout que ce n’est qu’une supputation de votre part. »
A.C, à Gerland.
A l’issue de l’élimination de son équipe face au RC Lens (2-1 après prolongations), Rémi Garde ne semblait pas plus traumatisé que ça.
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