Présent en zone mixte à l’issue de la victoire de son équipe à Gerland jeudi soir en huitièmes de finale de la Coupe de France (2-1 après prolongations), Gervais Martel a été particulièrement efficace face aux micros des journalistes.
« Ce n’est pas un exploit mais un grand résultat. Cela prouve que Lens existe à nouveau. J’espère revenir dans ce genre de stade dans les mois qui viennent. Il faut vraiment qu’on arrive à passer ce cap de la Ligue 2 », a d’abord balancé le boss du RC Lens.
La gastronomie lyonnaise, le seul bon souvenir de Gervais
« C’est comme si j’avais perdu mon vélo et mes roues et que je retrouvais un tandem ! A 59 balais, je suis aussi passionné qu’à 25. A Lyon, on a souvent pris des taules. En 2002, on leur a mis le pied à l’étrier en leur laissant un titre qu’on n’aurait jamais dû perdre. Sincèrement, à part la cuisine lyonnaise, je n’avais pas trop de bons souvenirs avant ça », a-t-il poursuivi avant de parler brièvement du quart de finale face à l’ASM le 25 ou 26 mars prochain : « Monaco, c’est plus que la cerise sur le gâteau. C’est le gâteau entier. Mais ce n’est pas le moment de l’évoquer ! »
Coup de fil à Hafiz
Félicitant son groupe où il n’y a « pas de tire-au-flanc », Martel a également pris le temps d’appeler son co-actionnaire azéri Hafiz Mammadov : « Je l’ai eu au téléphone. On se voit demain. Il a failli venir avant d’être tenu par ses obligations. Mais je peux vous dire qu’il est super content ! » Super content et prêt à une confrontation entre actionnaires d’anciens membres du bloc URSS. Le Russie – Azerbaïdjan du mois de mars promet déjà quelques bons mots.
Présent en zone mixte à l’issue de la victoire de son équipe à Gerland jeudi soir, Gervais Martel a été particulièrement efficace face aux journalistes.
