OM : Elie Baup, l’incompris du Vélodrome

Ainsi qu’un miracle, sous les traits d’une qualification en Ligue des Champions. Mais jamais d’unanimité à son égard.

Il y eu des matches synonymes de hold-up, des joueurs que l’on attendait plus, mais jamais de propos dithyrambiques à son égard. Comme si l’OM pouvait s’imposer, surprendre sans que son entraineur n’en soit jamais remercié. Telle est l’histoire, pour le moins étrange, d’Elie Baup à Marseille. Et comme le football se passe de sentiments, et que les dirigeants n’ont pas de mémoire, ce qui devait être l’apothéose de l’OM cette saison (Ligue des Champions) s’est vitre transformée en cauchemar pour l’homme à la casquette. 6 matches, 0 victoires et un profond ras-le-bol du Vélodrome à son égard. Sur son système de jeu, ses choix, et, il est vrai, une certaine frilosité comme la France du foot a pu s’en rendre compte un soir de Clasico au Vélodrome.

Un homme que tout Marseille comprend

Baup n’a pas survécu à son vestiaire. A ses joueurs qui l’ont tous dézingué auprès de Vincent Labrune. Il n’était alors plu question de choix et de jeu, mais du tempérament d’un homme qui posait fondamentalement problème. Baup parti, le Minot Anigo a repris le destin phocéen en main. Le jeu n’est guère plus reluisant, mais sur le banc, trône désormais un homme que tout Marseille, et encore plus son Vélodrome, comprend. On ne parle même pas, ici, de respect, mais de compréhension.  LA différence avec son prédécesseur.

B.D