Le journaliste Bruno Roger-Petit a publié sur son blog une chronique dans laquelle, s'appuyant sur les résultats du week-end (défaite phocéenne 4-3 sur le terrain de la Sampdoria, victoires du PSG et de Monaco), il élimine d'emblée l'OM de la course au titre.
Et en des termes assez sévères.
"L’OM a subi hier une quatrième défaite en match de préparation (3-4) contre la Sampdoria de Gênes, sempiternel trainard de la Série A en Italie, 14e l’an passé. L’OM a même réussi l’exploit d’encaisser trois buts en cinq minutes… L’OM, dont le président, Vincent Labrune, entend faire le Dortmund français… L’OM parait déjà hors-jeu, bloqué dans la faille spatio-temporelle du début des années 2000, avec à sa tête un président qui en est l’incarnation, et qui multiplie les opérations de communication d’une autre époque, persistant dans le storytelling de papa à l’heure de l’emotional writing. Non, décidément l’OM peine à convaincre qu’il puisse être autre chose qu’un gentil figurant de luxe. Comment pourrait-il en être autrement quand un club dépense péniblement 20 millions d’euros sur le marché des transferts, et sur le seul terrain franco-français ?"
Le journaliste Bruno Roger-Petit a publié sur son blog une chronique dans laquelle, s'appuyant sur les résultats du week-end (défaite phocéenne 4-3 sur le terrain de la Sampdoria, victoires du PSG et de Monaco), il élimine d'emblée l'OM de la course au titre.