par Raphaël Nouet

OM - SCO Angers (2-2) : tensions entre cadres dans le vestiaire, La Provence allume Eyraud

Après le nul contre Angers (2-2) qui enterre les chances de l'OM de se qualifier pour la Champions League, la tension est montée d'un cran partout dans le club.

Deux mois de bons résultats avaient permis d'apaiser les tensions au sein de l'Olympique de Marseille. Mais après le nul contre Angers (2-2) au Vélodrome, qui fait suite à la défaite dans le Clasico (1-3), la Champions League est désormais à huit points et donc quasiment inaccessible. Du coup, tout le monde a pu exprimer sa rancœur...

Déjà, selon L'Equipe, le ton est monté entre plusieurs cadres dans le vestiaire phocéen au coup de sifflet final. Tous se sont rejetés la faute de cette désillusion. La défense a été particulièrement pointée du doigt puisque Bouna Sarr a été expulsé, Adil Rami a quasiment tout raté alors que Jordan Amavi est coupable sur les deux pénaltys. Rudi Garcia y est également allé de ses griefs à l'ensemble du groupe.

Mais ce n'est pas tout : ce dimanche, La Provence envoie un scud au président, Jacques-Henri Eyraud, accusé de ne pas accepter les critiques. "Les fautifs sur ce match se reconnaîtront. Ou pas, puisque c'est là tout le problème de cet OM 2018-2019, qui semble vivre dans un monde parallèle, où les critiques ont du mal à être acceptées. Excusez-nous donc, ce matin, de remarquer qu'Amavi et Rami ont été catastrophiques, ou que Luiz Gustavo et Payet ont effectué une entrée déplorable (mais avaient-ils vraiment envie de jouer et de se défoncer pour leur coach ?)."  L'OM brûle... mais est-ce une surprise ?

R.N.

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Pour résumer

Après le nul contre Angers (2-2) qui enterre les chances de l'OM de se qualifier pour la C1, la tension est montée d'un cran partout dans le club.

Raphaël Nouet
Rédacteur
Raphaël Nouet

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